Amnésie temporaire

jeudi 1 septembre 2005

C'est le 100ème !!

Où comment on avance, on avance, on avance...

Voilà. Ma première centaine de billets sur ce blogue s'achève. Je souhaitais en profiter pour annoncer LA nouvelle que j'attends. Mais ce ne sera pas avant lundi. Attendre, donc...
Je n'en souhaite pas moins marquer le coup. J'ai loupé le coche du blog day qui était hier. Mais comme j'ai été mentionné par Luc, et que j'ai quelques blogues indispensables dans ma musette, je m'octroie de faire blog day le 1er septembre aussi.

  • How to Save the World : où comment derrière un titre ambitieux se cachent un esprit ouvert, des idées à la pelle et beaucoup de pistes de réflexion. Attention, c'est du english inside, made in Canada.
  • La Grange : où comment design, photos, citations, pensées et technologies internet font très bon ménage.
  • le blogue d'Alain Mabanckou : où comment on peut être romancier originaire du Congo-Brazzaville, vivre et enseigner aux Etats-Unis, avoir reçu le prix Ouest-France / Etonnants Voyageurs 2005 pour "Verre-Cassé" (Seuil), et tenir un blogue.
  • Pensées à haute voix : où comment être étudiant à Sciences Po Grenoble n'empêche pas de s'intéresser au design web et à plein d'autres sujets.
  • Procrastination : où comment à force de tout remettre au lendemain, on trouve subitement beaucoup de temps à consacrer à des choses inutiles.


Voilà, j'espère que d'autres apprécieront ces blogues autant que moi.



mardi 23 août 2005

Le retour

Où comment le long silence du blog au fond des bois (je sais ça veut rien dire !).

J'avais découvert son blogue mi-février et il avait rejoint illico mes signets préférés. Mais quelques jours après, elle publiait un billet sur la disparition de Hunther S. Thompson et semblait disparaître également. Il y a trois jours de ça, j'enlevais son lien d'Amnésie temporaire après avoir vérifié une dernière fois qu'elle ne donnaît plus de nouvelles. C'est donc avec surprise et joie que j'ai appris sa réapparition via le blogue de François.
C'est donc vers vous, chère lectrice, cher lecteur, (oui, c'est bien au singulier : un de chaque) que je me tourne pour vous encourager à aller lire ses critiques, ses coups de coeur et autres découvertes dont vous n'auriez jamais espéré entendre parler.

La Muselivre !



samedi 20 août 2005

Palimpseste numérique

Où comment chercher une définition.

J'avoue que je ne savais pas ce qu'était un palimpseste il y a encore quelques minutes de ça. J'ai hésité avec le palyndrome. Et j'ai compris mon erreur en découvrant la signification du palimpseste.

Un palimpseste est un parchemin manuscrit sur lequel on a gratté la surface pour y porter un nouveau texte. Cette technique est née au moyen âge, lorsque la principale source en parchemins, située en Égypte, s'est tarie suite à la conquête arabo-musulmane (VIIème siècle). Les copistes ont alors eu l'idée de passer de l'eau de chaux sur les anciens parchemins, après en avoir délicatement gratté la surface, pour y écrire de nouveaux textes. Dans certains cas, il est possible de retrouver sous la nouvelle écriture des traces de l'ancienne.

Tout ça pour vous recommander la lecture du palimpseste numérique, blogue que je viens de découvrir via Hémisphair, et en particulier ce billet sur le terrorisme.



Et une pelotte de liens, une !

Où comment l'homme qui marche me fait voyager.

Ca faisait longtemps que je n'avais pas fouiné dans ma liste de blogues. Ca faisait donc longtemps que je n'avais pas rendu visite à l'homme qui marche. Un excellent blogue dont je tire la pelotte de lien suivante :

  • la publication par le New-York Times des retranscriptions de 503 entretiens d'urgentistes, infirmiers et pompiers sur le 11 septembre, soit 12 000 pages de documents.
  • la nouvelle version du site du Louvre.
  • un texte intitulé L'usage de la lenteur: l'immobilité motorisée, la marche, et le voyage aujourd'hui d'un professeur de français à Liverpool, dont sont issues ces deux citations : On ne voyage vraiment qu'à pied, sinon l'homme n'est qu'un bagage animé. - La terre, pour la comprendre tout à fait, nous devons d'abord l'approcher avec la primitivité de notre chair et les antennes de nos sens.
  • un site sur Michel Audiard avec tout plein d'extraits de ses dialogues.

- Patricia, mon petit, je ne voudrais pas te paraître vieux jeux et encore moins grossier...L'homme de la pampa parfois rude, reste toujours courtois... Mais la vérité m'oblige à te le dire: Ton Antoine commence à me les briser menu!



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