Amnésie temporaire

mercredi 28 décembre 2005

De retour

Où comment le temps passe, le blogue reste.

Et voilà... Noël 2005 est passé, le nouvel an ne va pas tarder, et j'ai 30 ans !

N'allez pas croire qu'il y a une relation Il se pourrait bien qu'il y ait une relation entre ce nouvel âge dans lequel j'entre, la trentaine, et ma reprise de clavier. Comme un besoin de laisser une trace, fut-elle électronique, une envie de partage, fut-il virtuel, ou encore un désir d'écriture.

Bref ! 2006 arrive et avec la nouvelle année, son cortège de bonnes résolutions qui tiennent ce qu'elles peuvent. Je n'échapperais pas à la règle et pour tout vous dire, j'ai déjà commencé à y réfléchir. Mieux... J'ai pris des notes !

Alors donc, en 2006, je suis tout à fait et irrémédiablement résolu à :

  1. Aimer la femme qui partage ma vie avec dévouement et imagination.
  2. Aller au travail à vélo.
  3. Remettre mon blogue sur pieds.
  4. Faire de la cuisine le dimanche pour avoir des repas prêts pour le reste de la semaine.
  5. Etre plus disponible pour aider mon prochain.
  6. Méditer.
  7. Mieux gérer mon argent.
  8. M'organiser pour ne plus oublier les 101 petites choses du quotidien qui s'en vont et ne reviennent pas toujours.
  9. Lire, encore et toujours.
  10. Libérer l'énergie créatrice qui est en moi.


Plouf... rien que d'écrire tout ça, je suis déjà fatigué. Vivement 2006 que je me repose !!



vendredi 23 septembre 2005

Message de passage

Où comment faire vite

Je me fait désirer depuis quelques jours sur ce blogue. C'est qu'un nouvel emploi, ça vous prend du temps et de l'énergie. Pourtant ce ne sont pas les sujets de billet qui manquent. Entre mes rencontres aquatiques le long de la Vilaine (un castor, une loutre ? je suis nul en animeaux nageurs), un commentaire enthousiaste sur Kiss kiss bang bang (vraiment très drole et j'adore Robert Downey Jr.), l'annonce de conférences et manifestations sur Rennes liées à l'énergie ou à l'écologie au sens large (Hélène Gassin de Greenpeace le 29 mars à 20h30 au Champ de Mars pour parler d'énergie notamment, ou encore les stands de la "faîtes de la marche à pied" ce samedi 24 place de la mairie), et la pratique du don et du dépôt de tickets de métro observée aux guichets automatiques (profitons-en avant qu'ils n'instaurent les cartes magnétiques !).

Bref, le temps file et cet endroit n'est pas prioritaire. Je continuerai donc sans doute à être un peu moins présent dans les mois à venir. Mais ne m'abandonnez pas pour autant, car... I'll be back !!



mardi 13 septembre 2005

Insoutenable facture pétrolière

Où comment ça va faire très mal

Un autre article dans le libé du jour, sur la situation extrêmement difficile que rencontrent les pays du Sud face à la hausse des prix du pétrole. On le sait, quand la situation économique se dégrade pour une raison ou pour une autre, les premières victimes en sont les pauvres. C'est vrai au niveau d'un pays, c'est aussi vrai au niveau international.

Même l'Indonésie, pourtant membre de l'Opep, n'est pas épargnée par le choc. Elle se voyait promettre une renaissance économique, mais sa devise s'effondre, sa facture énergétique explose et son gouvernement vacille face à la grogne sociale. Dans le sud du Nigeria, dans la ville de Benin, trois personnes ont été tuées et plusieurs blessées lors d'une manifestation contre la hausse du prix de l'essence. «La situation macroéconomique et sociale se dégrade dans l'ensemble des pays du Sud non producteurs de pétrole», affirme Moncef Kaabi, économiste à la CDC-Ixis. Economiste à la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement, Deflet Kotte estime que l'«impact de la hausse est terrible pour les pays du Sud en phase d'industrialisation, car leurs économies sont plus énergivores en pétrole que celles des pays déjà industrialisés». La facture pétrolière y représente plus de 5 % du produit intérieur brut, contre 2 % pour ceux du Nord. Et Bill William Ramsay, directeur adjoint de l'Agence internationale de l'énergie, de préciser : «Le drame pour les pays les plus pauvres, c'est qu'ils n'ont pas de filet de sécurité pour maintenir le brut à un prix bas. Sauf à pomper dans les budgets nationaux, au détriment de la santé, de l'éducation...»

De nombreux économistes affirment que l'enchaînement d'un cercle vicieux est déjà à l'oeuvre au Sud. En clair, importateurs nets de pétrole, ces pays doivent honorer l'envolée de leur facture payable en billets verts, qu'ils n'ont pas, faute de recettes d'exportation. Sauf à augmenter une dette (déjà insoutenable) en tendant la main vers des organismes comme le FMI ou la Banque mondiale, ou encore des banques privées... Autant d'acteurs qui cherchent depuis des années à réduire la dette des pays pauvres.

La transition dans l'ère de l'énergie chère va être très difficile à gérer et laissera sans doute beaucoup de monde sur le carreau. Bon, pour ne pas rester sur une note trop noire (désir !!), cette info lue dans la gazette des communes.

Le conseil général d'Ille-et-Vilaine souhaite s'engager, dès 2006, en faveur de la création d'une filière de biocarburants à base d'oléagineux, en liaison avec les agriculteurs, notamment ceux de la filière laitière, en crise actuellement.

Il est intéressant que les choses évoluent au niveau de l'agriculture bretonne, au moins à la marge et dans le département. Un autre chantier qui pourrait apporter beaucoup aussi bien aux agriculteurs qu'aux collectivités qui en feraient l'expérience, c'est la méthanisation à la ferme des déchets organiques. La technique est tout à fait au point et des fillières importantes se sont développées notamment en Allemagne et au Danemark. Mais j'y reviendrai à l'occasion d'un billet sur le sujet.



Noir Dès'

Où comment les mots

Ce matin dans Libé, un article sur la sortie le 19 septembre prochain de l'album live de Noir Dès' intitulé sobrement En public. A lire, l'entretien avec les membres du groupe.

En public



jeudi 8 septembre 2005

La horde du contrevent

Où comment me laisser sans voix

J'avais cité il y a peu un passage de ce livre. Je viens de le finir hier soir.

Fouillouillouille !!!

"C'est un peu court jeune homme", me direz-vous ? Certes.
Eh bien je complèterai en disant que créer un univers complexe, des personnages attachants, écrire de vraies scènes dantesques, jouer avec maestria avec la langue française (ah le fabuleux duel de Caracole !!!) et laisser le lecteur avec les larmes aux yeux, ce n'est pas donné à tout le monde.
Je viens de lire un grand, grand livre.

Le "pitch" est simple : une planète inhospitalière parcourue par les vents, un groupe (la horde) remonte de l'extrême-aval à l'extrême-amont à pieds pour trouver l'origine des vents. Simplissime comme histoire ? C'est sans compter le talent d'Alain Damasio qui développe l'ensemble avec beaucoup d'ampleur et de poésie.

Un livre à lire, à relire, et à faire découvrir !!!



mercredi 7 septembre 2005

Merci

Où comment transformer sa réalité

Merci donc au quidam anonyme de procrastination de nous avoir fait partager cette bulle qu'il s'est construit le temps d'une parenthèse dans la réalité. Un vrai plaisir...



mardi 6 septembre 2005

Un point sur l'état de la pile de la table de chevet

Où comment je ne sais plus quel livre lire ensuite

Je dois bien avouer que je suis un peu paumé en ce moment en ce qui concerne mes lectures. J'ai deux types de livre en attente : les romans de SF et les essais. Pas du tout le même genre de lecture, n'est-il pas ? Je vais lister les principaux livres et les classer en même temps du prochain livre jusqu'à celui qui peut encore attendre un bon moment.

Commençons par la SF :

  1. Mondes et démons de Juan Miguel Aguilera (éd. Diable Vauvert), dédicacé lors du salon Etonnants Voyageurs 2005.
  2. Transparences de Ayerdhal (éd. Diable Vauvert), en attente depuis un bon moment déjà.
  3. L'affaire Jane Eyre de Jasper Fforde (éd. Fleuve Noir), que l'on m'a énormément conseillé.
  4. Wonderful de David Calvo (éd. J'ai lu), dont j'avais oublié que je l'avais alors que l'auteur passait en dédicace chez Critic.
  5. Le monde inverti de Christopher Priest (éd. Folio SF), le livre qui l'a lancé.
  6. Darwinia de Robert Charles Wilson (éd. Folio SF), qui est donc en fin de liste.

Pour ce qui est des essais, ça pourrait donner ceci :

  1. Les sept habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu'ils entreprennent de Stephen R. Covey (éd. First Editions), parce que j'ai du train demain et après-demain et que je commence un nouveau boulot (oui, je m'excuse presque un peu de le lire : pas assez intellectuel !! ;-) ).
  2. La sorcellerie capitaliste de Philippe Pignarre et Isabelle Stengers (éd. La découverte), livre qui titille vraiment ma curiosité.
  3. Approches spirituelles de l'écologie coordonné par Frédéric Paul Piguet (éd. Charles Léopold Mayer), parce qu'une approche purement économiste ou technique de l'écologie occulterait le lien à l'homme.
  4. L'effet de serre de Hervé Le Treut et Jean-Marc Jancovici (éd. Flammarion, collection Champs), parce que le temps presse.
  5. Reconsidérer la richesse de Patrick Viveret (éd. de l'Aube), parce qu'il peut être salutaire d'oser penser différemment.
  6. Gauches et gauchisme de Octavio Rodriguez-Araujo (éd. l'Atalante), pour mettre en perspective.
  7. Europe, la trahison des élites de Raoul Marc Jennar (éd. Fayard), pour essayer de me faire une idée.

Voilà voilà. Ca en fait quelques uns. Si vous avez des conseils sur certains de ces livres, je suis tout à fait preneur. Cela me permettra de faire avancer ou reculer le bouquin dans la liste ! Bon, c'est pas tout mais j'ai la Horde du Contrevent de Alain Damasio à finir moi !!



Le prestige

Où comment une SF ambitieuse est - encore - possible

SF ambitieuse ? Non, je ne parle pas de Star Wars, Matrix, ou d'un quelconque autre blockbuster hollywoodien. Je parle de littérature. Je parle d'un écrivain qui au-delà de toute aventure spatiale ou description d'un monde futuriste forcément sombre, cherche à travers ses mots à explorer sans doute son thème favori : l’effondrement de la réalité.

Le PrestigeJe parle effectivement de Christopher Priest, auteur exigeant, dont j'avais déjà parlé ici, ici et encore . J'ai fini ce week-end Le Prestige, roman sur l'affrontement de deux magiciens (au sens d'illusionistes) à la fin du 19ème Siècle. Le bouquin m'a beaucoup plu. Priest se fait lui-même prestidigitateur pour nous emmener là où il le souhaite à travers la lecture des journaux intimes des deux protagonsites. Comme il le dit lui même : J’aime proposer au lecteur cette sorte de défi, l’emmener par la main, et puis le lâcher dans un virage ! A noter, le final particulièrement excellent qui laisse le lecteur dans le même état que le spectateur du projet Blair Witch.

La bonne nouvelle que j'ai apprise en préparant ce billet, c'est qu'il existe un projet semble-t-il bien avancé de film basé sur Le Prestige. L'excellente nouvelle, c'est que le réalisateur ne serait autre que Christopher Nolan (Memento, Insomnia, Batman begins) ! Et d'après ce compte-rendu de la WorldCon (World Science Fiction Convention) qui s'est tenue cette année à Glasgow, la production pourrait démarrer au mois de novembre.

Le Prestige

Enfin, je voudrais signaler cet entretien avec Christopher Priest réalisé par le Cafard Cosmique aux Utopiales de Nantes en 2004. On y apprend notamment que l'auteur a deux enfants... des jumeaux. Ce qui ne surprendra pas le lecteur attentif compte tenu de la permanence du thème du double dans ses livres.



Limitation aux situations moyennes

Où comment il est très difficile de vraiment envisager le pire

Un entretien dans le Libé du 02 septembre avec Patrick Lagadec, spécialiste de la gestion de crise. Il pointe du doigt un élément qui me semble important dans le cadre de la gestion de crises. Ce qui est particulièrement intéressant, c'est que cela s'applique aussi à la gestion des problèmes globaux, qu'ils soient écologiques (le réchauffement climatique), économiques (l'ère de l'énergie chère) ou civilisationnels (l'impossibilité de la généralisation d'un mode de société basé sur le développement et la croissance économique).

Un nouvel exemple d'un problème plus fondamental, classique des situations de crise : aller au-delà des cadres mentaux habituels ne nous est pas aisé, pour les dirigeants comme pour la population. Les uns et les autres, nous sommes enclins à limiter nos réflexions et nos actions aux situations moyennes. (...)

Mon expérience des exercices de crise ou des colloques sur le sujet montre que, si vous proposez de travailler sur l'extrême ou l'inconcevable, vous déstabilisez vos interlocuteurs. Ce qui est extrême est insignifiant, dit-on souvent. Or c'est justement de cela qu'il s'agit lorsqu'il faut se préparer ou réagir à un événement comme le cyclone Katrina où chacun des éléments de la crise ­ les digues qui lâchent, les pillages, la difficulté à évacuer les personnes restées sur place... ­ sort des cadres. Je ne suis pas sûr que l'on aurait accepté d'émettre l'hypothèse d'une interruption des vols d'hélicoptères parce qu'ils se font tirer dessus par des individus armés dans une simulation de crise. Impossible, se serait-on écrié. Il est indispensable d'être excellent à l'intérieur des cadres habituels pour la plupart des situations. Mais oser se poser des questions hors cadre, c'est là qu'on nous attend, décideurs, experts, grand public.

Nous sommes tous actuellement dans la situation de l'habitant de la Nouvelle Orléans qui sait qu'un ouragan potentiellement dévastateur arrive et qui ne veut ou ne peut pas partir. Nous sommes des habitants de la Terre, des ouragans arrivent, et nous envisageons juste de fermer les volets et d'acheter quelques bouteilles d'eau et boîtes de conserve.

Oser poser des questions hors cadre est extrêmement difficile. Nos hommes politiques, dans leur très très grande majorité, ne le peuvent pas, ne le conçoivent même pas. Ne les attendons pas !



samedi 3 septembre 2005

Efficacité d'un changement de style de vie pour combattre le cancer de la prostate

Où comment et surtout pourquoi manger des pommes !

Lu sur Futura Sciences. Après avoir observé 93 malades débutant un cancer de la prostate, une équipe de chercheurs américains a trouvé un lien entre un changement de style de vie et une inhibition du développement de la tumeur.

En quoi consistait le changement de mode de vie ?

Le régime alimentaire modifié consistait en premier lieu à consommer des fruits et légumes, des féculents, des légumes supplémentés en minéraux et vitamines. Les individus concernés participaient à des exercices modérés d’aérobie, des séances de yoga/méditation et à une session hebdomadaire de groupe de soutien.

La question bonus est : Pourquoi attendre d'avoir un cancer ??



vendredi 2 septembre 2005

YES ! YES ! YES !!!!!

Où comment notre héros voit ses efforts récompensés !

Le 100ème billet est passé, mais le principal, c'est que :

CA Y EST !

JE L'AI MON BOULOT !!!!



Pour une nouvelle politique énergétique

Où comment fixer un cap et rouler dans une autre direction

Réactions d'Hélène Gassin, chargé de mission énergie à Greenpeace France aux récentes déclarations de Chirac. Il a déclaré lors du lancement de la nouvelle Agence de l'innovation industrielle (AII) à Reims que "le prix du pétrole risque d'être durablement élevé" et que "le renouveau de notre politique énergétique est indispensable". Ce renouveau "passe par des politiques d'économies d'énergie, mais aussi par la mise au point de nouvelles technologies." Toujours selon M. Chirac, "c'est une nécessité pour la planète. C'est aussi un marché dont le potentiel est gigantesque."

Pour rappel, dans le cadre de la Loi sur l'énergie adoptée récemment, la France s'est engagée à diviser par 4 ses émissions de CO2. Or, ce n'est pas le nucléaire qui va nous aider car nos voitures, nos camions ne marchent pas au nucléaire ! L'état doit promouvoir le fret, travailler sur la réduction des circuits de distributions, soutenir le développement des transports en commun efficaces etc... Nous devons anticiper, avoir une longueur d'avance. Par exemple, lorsqu'une municipalité décide d'implanter une zone commerciale, elle doit tenir compte, entre autres, des déplacements que cela engendrera. Il faut être à l'écoute des habitants pour développer des transports publics adaptés à leurs besoins . C'est plutôt vers ce genre d'innovation politique et sociale que les financements devraient aller.

Ce qui me semble intéressant dans ces remarques, c'est que les innovations vers lesquelles il faut tendre sont principalement de nature politiques et sociales, plutôt que technologiques. Que l'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas écrit. Les innovations technologiques sont utiles et nécessaires. Mais elles seront largement inopérantes si on continue de reproduire les schémas de ces cinquante dernières années en matière d'aménagement urbain ou de prise de décision. Il est nécessaire d'intégrer les questions énergétiques et environnementales au sens large dans l'ensemble de nos aménagements en pensant non pas aux prochaines élections mais aux prochaines générations. Et pour que cela ne reste pas à l'état de doux rêve, il me semble important de porter ces préoccupations au niveau local.

Plus facile à dire qu'à faire et il y a tant à faire. Certes.
Mais le coût de l'inaction est bien plus important.



En finir avec la junk politique

Où comment on peut toujours y croire

J'ai bien aimé la chronique de Daniel Schneidermann dans le libé d'aujourd'hui. Il commente cette petite phrase que l'on a tous si souvent entendu aux journaux télévisés. «Et maintenant, la politique». Comme si les sujets précédemment traités (les logements insalubres et le prix du pétrole ce jour là) n'en étaient pas. De la politique.

Quand on annonce donc la rubrique "politique", c'est le jeu des petites phrases et autres parades de coq qui nous est donné en pature. C'en est devenu un sujet à part entière. Les combats d'appareils et autres manifestations des ambitions personnelles. A tel point, note Daniel Schneidermann, que les hommes politiques peinent à placer leurs propositions ou arguments durant leurs entretiens avec les journalistes. Quoi ? Un avis ? Mais n'est-ce pas là la marque de votre future candidature ?

Alors à qui la faute ? Aux politiques ? Aux journalistes ? Au mélange des genres ? Je ne sais pas vraiment, mais il est évident que nous aurions tous à gagner à laisser de côté les jeux politiques pour la faire vivre. La Politique.

Pour info, Daniel Schneidermann tient le Big Bang Blog avec David Abiker et Judith Bernard.



jeudi 1 septembre 2005

Vélorution

Où comment si on n'a pas de pétrole, on fait travailler ses mollets

VélorutionJ'en profite pour indiquer quelques liens aux rennais :



Laissons la voiture au garage

Où comment le vélo c'est tellement mieux

Deux infos trouvées sur le blogue http://antivoitures.free.fr/.

choc
Tout d'abord ce graphique (Source : BPA - Bureau Suisse de Prévention des Accidents) qui indique la probabilité pour un piéton d'être tué dans une collision avec une voiture de tourisme en fonction de la vitesse de celle-ci lors du choc. Instructif ! A 70 km/h, on a toutes les chances d'y passer. A 50 km/h, on a sept chances sur dix d'y rester. Or, à 30 km/h, la probabilité tombe à 15 %. Ce qui reste élevé bien entendu mais beaucoup moins important qu'à 50 km/h.
Conclusion : il vaut mieux éviter tout contact avec une voiture en mouvement. Si vous vous trouvez dans l'impossibilité de faire autrement, choisissez une voiture qui roule à faible allure !

selle Ensuite ce site, Tous en selle, qui propose de comptabiliser les km faits à vélo par toute personne enregistrée, et de les transformer en litres d'essence économisés, kg de CO2 non rejetés et euros gagnés. L'initiative me semble plutôt sympathique, mais tant qu'à comptabiliser mes km de vélo, j'aimerais autant afficher les compteurs sur mon propre site. A voir, donc.



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